Le soulagement a été à la hauteur de la peur ressentie à l’idée d’une possible victoire d’un candidat à la fois enfant de Pinochet et héritier des Nazis réfugiés en Amérique Latine. En effet, si le candidat d’extrême droite Kast avait bien reconnu que son père avait été dans la Wehrmacht, il avait juré que ce dernier n’avait pas été nazi, ce qui s’est avéré faux : Michael Kast avait adhéré au parti d’Hitler en 1942. Entendre des milliers de personnes reprendre les chants de Quilapayun ou d’Inti Illimani (“el pueblo unido jamas sera vencido”) était incroyablement émouvant. La victoire
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