De la MOE aux FTP-MOI

À l’issue de la Première Guerre mondiale, la France accueille de nombreux·ses immigré·es pour se reconstruire. Toutefois, ces immigré·es ne sont pas uniquement économiques, ce sont aussi des réfugié·es ou exilé·es qui viennent dans le “pays des droits de l’homme” pour fuir les persécutions tout au long de l’entre-deux-guerres. Le jeune Parti communiste et en particulier sa section syndicale, la Confédération générale du Travail Unitaire (CGTU), afin d’affirmer la solidarité internationale de classe des travailleur·euses, fondent en mai 1923 la MOE (Main-d’œuvre étrangère). En 1932, la MOE devient MOI (Main-d’œuvre immigrée). Ainsi la MOI organise la solidarité internationale et locale.

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