DU CÔTÉ “FÉMINISME” Le Kenya reste encore aujourd’hui un des pays où l’on excise le plus de petites filles au monde. Les mutilations génitales féminines (MGF) y sont interdites depuis 2011 et une baisse très significative de ces pratiques y avait été enregistrée pendant une dizaine d’années. Cependant, depuis 2021, des statistiques montrent que les excisions seraient de nouveau en hausse. Les conditions climatiques des deux dernières années (sécheresses historiques dans ce pays) ont réduit les habitant·es des zones rurales à une très grande précarité, conduisant aux mariages forcés des fillettes, et donc à leur excision, pour convenir aux traditions
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