Défendre ensemble les droits des migrant·es

La loi Darmanin, même partiellement censurée par le Conseil constitutionnel, est une nouvelle régression du droit des étranger·es en France. Elle durcit encore les conditions de délivrance ou de renouvellement des titres de séjour, introduit de nouveaux motifs de refus, renforce et accélère les expulsions, allonge la durée d’assignation à domicile jusqu’à trois ans, réduit encore les droits des demandeurs et demandeuses d’asile. Ainsi, les jeunes étranger·es pris·es en charge par l’ASE pourront être exclu·es des contrats Jeunes Majeurs si le préfet décide qu’ils ou elles sont indésirables. La régularisation des travailleurs et travailleuses sans-papiers, limitée aux “métiers en tension”,

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